Évènement proposé dans le cadre de l’exposition-dossier La création de l’Ossuaire de Douaumont (1919-1932). Monumentaliser le deuil de masse (30 mars-28 mai 2019)
Avec l’Ensemble Double Expression, Sonia Sempere (soprano), Véronique Vermeeren (violon) et Emmanuel Pélaprat (harmonium Mustel 1898.)
Sonia Sempéré obtient les médailles d’or à l’unanimité en chant et musique de chambre au Conservatoire de Tarbes, élève de Guy Chauvet et Michel Philippe, tous deux chanteurs de l’Opéra de Paris. Elle suit les conseils de R. Massard, M. Alcantarra, G. Bacquier et L. Bond Perry. Elle se fait l’interprète en tant que soliste de nombreuses oeuvres (Stabat mater de Pergolèse, Dixit Dominus de Haendel, Magnificat, Passions et cantates de Bach, Petite messe solennelle de Rossini, etc.) et participe à plusieurs festivals en France et à l’étranger. Elle se produit avec l’ensemble Henri Duparc dans le cadre de l’exposition universelle de Lisbonne en première partie du Récital de Placido Domingo. Également très intéressée et investie dans la pédagogie du chant, titulaire du Diplôme d’État de technique vocale et chant, elle est professeur au Conservatoire Philippe Gaubert de Cahors.
Véronique Vermeeren a obtenu un premier prix de violon à l’unanimité avec félicitations du jury au CNR d’Aubervilliers / La Courneuve. Elle obtient ensuite le Diplôme d’État de professeur de violon, et enseigne depuis 20 ans dans le département du Lot. Elle exerce actuellement au conservatoire de Cahors. Comme violoniste, elle a collaboré avec l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, et l’Orchestre National de Chambre de Toulouse et joue régulièrement au sein de l’Orchestre Regional Bayonne/Côte Basque.
Titulaire du grand orgue Eugène Puget (1880) de l’église Notre-Dame du Taur à Toulouse, Emmanuel Pélaprat est aussi professeur à l’université de Bordeaux-Montaigne après avoir enseigné au Conservatoire de Toulouse. Conciliant son goût pour la recherche et la musique romantique, Emmanuel Pélaprat se passionne également pour l’harmonium d’art, instrument injustement méconnu ; son facteur de prédilection est Mustel. Il a interprété la Petite Messe Solennelle de Rossini sous la direction de John Eliot Gardiner. À son actif, figure la redécouverte d’œuvres de Saint-Saëns, Lefébure-Wely.
Autour de l'exposition